victoire
Pour le moment cette victoire c’est juste un glaçon entre les omoplates.
Autour de moi, des gens hypnotisés par la ville, des papillons qui ne peuvent pas vivre loin de la lumière parlent de quitter beyrouth. On en parle comme d’une femme. C’est déchirant de penser à quitter beyrouth. Même momentanément. C’est une ville qui engendre une dépendance.
Malgré la paix, on se sent obligés de se poser la question du partir ou pas.
Voila quoi dire d’autre, peut être une rave ce week end, peut être quelques jours au fin fond de la montagne la semaine prochaine, et tous les jours une nouvelle définition a ajouter au lexique de survie dans le neo beyrouth.
Autour de moi, des gens hypnotisés par la ville, des papillons qui ne peuvent pas vivre loin de la lumière parlent de quitter beyrouth. On en parle comme d’une femme. C’est déchirant de penser à quitter beyrouth. Même momentanément. C’est une ville qui engendre une dépendance.
Malgré la paix, on se sent obligés de se poser la question du partir ou pas.
Voila quoi dire d’autre, peut être une rave ce week end, peut être quelques jours au fin fond de la montagne la semaine prochaine, et tous les jours une nouvelle définition a ajouter au lexique de survie dans le neo beyrouth.
posted by yasmina at 6:27 PM
2 Comments:
Du moment que Fairy n'a pas encore commenté, j'en profite pour te dire bravo pour ton blog, j'aime beaucoup ton style, et j'ai particulièrement aimé ton post du 11 août. Beau travail! :)
:-P here i am, commenting.
well i m waiting a bit more til i return home. cant wait though. it s unbearable to be away in such times especially. i miss the heat of beirut and the noise. is this familiar noise back at least? (i am NOT talking about the bombs of course!!)
do u think we can start working soon again?
please say yes.
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